Le terrain immobilier en crise
Le centre-ville semble très couru. Le mètre carré en collectif varie de 2.370 à 3.560 Francs Suisse, et même d’avantage pour les maisons de haut confort très bien localisés.
Gland, Montreux mais aussi les parages des parcs subissent visiblement le même regain d’intérêt. Les habitations ordinaires représentent de 357.000 à 764.000 CHF l’unité.
Les généreuses demeures peuvent atteindre 940.000 CHF.
Dans le canton de Genève, l’année dernière, pas mal de propriétaires ont effectivement mis en vente leur hôtel particulier ou leur maison, engrangeant une majoration de 37% des transactions en comparaison de juillet 2013. Des propriétés propriétés de gens riches.
La promenade personnelle et les grandes vérandas laissent accéder dans votre chambre la brillance du jour.
L’angoisse du marché immobilier dans le Genevois étant terminée, le canton de Genève reste le meilleur choix pour investir. Les montants du marché immobilier dans le Genevois demeurent plus bas que les prix des capitales. Si vous cherchez un fonds de commerce, Geneva Real Estate suggère pas moins de 36070 propositions immobilières dans le canton de Genève.
Les biens immobiliers ayant un maximum la côte sont les demeures à bas prix. De même afin de perfectionner ce type d’action, il faut encore plus opter pour les habitats compacts.
Avec 32 à 40 % d’ententes prises en compte en 2012, mais des prix qui semblent immobiles dans Genève, aucun doute, le canton de Genève tient la tête !
« Dans le secteur immobilier, nous sommes restés à un niveau de loyers post crise et la révision qui s’était amorcée en Suisse Romande depuis 2005 a été confirmée après 2005 », critique Me Jean Perrin, familier de l’immobilier à la Cour communale des députés.
Le marché de l’immobilier haut de gamme souffre parmi les zones chics du coeur de la région. La ville de Genève s’obstine malgré cela de captiver les riches qui pensent de nouveau au placement dans le secteur immobilier de prestige.
Cours d’intérêt franchement bas, prix en décrue de 36 à 16 % en quatre mois dans le Genevois et partout ailleurs, les agents immobiliers sont d’accord : c’est l’occasion d’acheter.